samedi 19 décembre 2009

Nostalgie...

En cette journée froide de décembre, je me sens plutôt nostalgique en pensant à Paris. Je vais mettre quelques photos qui me rappellent de bons souvenirs.

Ma chambre à Nanterre.Des bonbons.
Rue de Versailles.
Vue de chez Marie et Maxime.
Samuelle et moi.

Marie, Sylvain et Kévin.
(Bien que la photo n'a pas été prise à Paris)

Mon père, Maxime, Marie, moi et ma mère chez Gladines.Près de la Seine.
Lampadaire avec un petit personnage.
Fleurs au printemps.
À Disneyland.
Une de mes nombreuses visites au Louvre.
Les macarons de Ladurée.
Vue de La Défense à partir de la Tour Eiffel.
Vue sur Paris.
Laura et moi qui mangeons les meilleurs éclairs au chocolat de Paris.

IUFM de Saint-Germain-en-Laye

Voici des photos de l'Institut de formation des maîtres de l'Académie de Versailles à Saint-Germain-en-Laye. C'est l'endroit où j'ai étudié.


Mes classes de stage en France

École maternelle



Lycée international

Corrida espanola

La corrida est le seul jeu de cirque romain qui ait passé les âges. On y retrouve des caractéristiques bien romaines. Attention aux coeurs sensibles...!

Au départ, le toréador se place à genoux face à l'entrée de l'arène, avec un drap (ou cape) rose et jaune. On ouvre la porte, le taureau se jette sur lui, et il esquive en restant à genoux mais en faisant tournoyer la cape au-dessus de sa tête.

Il fait ensuite plusieurs passes avec le taureau (pour jauger sa pugnacité). La cape est tendue par un ou plusieurs bâtons (appelés picos).

Puis entrent en scène les picadors: ce sont 2 cavaliers (le cheval est protégé par une robe épaisse, autrefois en osier) avec des lances. Des auxiliaires divertissent le taureau (par des leurres) pour le diriger vers eux. Chaque cavalier doit alors piquer le taureau avec sa lance (lui enfoncer au niveau de l'échine ou des épaules), afin de le faire saigner et l'affaiblir. Bien sûr le taureau se défend et pousse le cheval (parfois en le plaquant contre la paroi, mais toujours du même côté). Le picador appuie de tout son poids sur la lance et la laisse enfoncée un certain temps.

Puis les picadors quittent l'arène (sur ordre du président), et on remet deux paires de banderilles au toréador. Celui-ci doit enfoncer chaque paire en même temps dans l'épaule du taureau, l'une après l'autre. Bien sûr, toutes ces phases sont séparées par une série de passes (toréro avec la cape rose), afin de fatiguer le taureau. C'est là qu'on crie "Olé !". Parfois, ce sont les auxiliaires qui plantent les banderilles (toréadors novices), qu'on appelle alors les "banderilleros".

Arrive ensuite la mise à mort: le toréro (appelé matador à cause de la mise à mort) se découvre et s'avance vers la loge présidentielle: le président de la corrida lui remet l'autorisation de la mise à mort. Les garçons de piste remettent alors au matador un drap rouge cette fois (la muleta), ainsi qu'une épée spéciale, recourbée vers le bas (l'estoque); en même temps il leur confie sa coiffe. A lieu ensuite une série de passes, avec le taureau plutôt épuisé qui saigne de partout (il a les banderilles fichées dans le dos, et les blessures des picadors: il crache aussi parfois du sang, en plus de sa bave, s'il a eu les poumons touchés).

Au moment voulu, la mise à mort a lieu (on l'appelle l'estocade) : le toréro se met face au taureau, l'épée en avant, la garde à hauteur des yeux, et l'attire une dernière fois. Le taureau se jette et le toréador en esquivant lui plonge l'épée dans le dos au niveau du cou jusqu'à la garde. Le taureau se couche alors, terrassé.

Parfois, la mort n'arrive pas tout-de-suite. Il faut alors extraire l'épée, la changer et recommencer. De même, si le taureau une fois à terre bouge encore, des auxiliaires (ou le matador lui-même) lui enfoncent discrètement un couteau à la base du crâne.

Tout ceci dure environ 20 minutes, on évacue le taureau et on recommence avec un autre, tout fringant.

Ce texte est un copier-coller de ce site : http://eric.hurtebis.chez-alice.fr/corrida.htm

J'avais envie de vous partager qu'est la corrida. Personnellement, j'en ai vu une fois et ce sera la dernière. Pour votre information, les taureaux de cette corrida ont été ramassés par une boucherie...

Feria

Après voir vu une publicité, nous sommes allées à la 38e Feria de Abril de Catalunya. Flamenco, vins et gastronomie étaient au rendez-vous.






lundi 14 décembre 2009

Barcelona l'exubérante

Barcelone est la ville la plus cosmopolite d'Espagne et elle est toujours en effervescence. J'ai adoré le dynamisme et la beauté de cette ville. L'architecture est audacieuse et à l'avant-garde. Les oeuvres d'Antoni Gaudi sont parmi les plus extravagantes.



La Sagrada Familia.

Le parc Güell de Gaudi inspiré des contes de Grimm

Le fameux banc de Trencadis fait de mosaïques.

Contrairement à ce que j'avais imaginé, l'esplanade est immense.

Vue de l'esplanade et du banc du côté de la mer.

Le dragon-lézard qui garde l'entrée du parc.

Encore dans le parc Güell.

Une colonne de la Sala Hipostila.

Valencia

L'avant-dernière destination avant le retour à Paris était la magnifique ville de Valencia. Et que dire de la température.... Trop génial!!! :D

Nous sommes allées à la plage!!! Youhou!
J'ai même eu le temps de faire une petite sieste...

J'ai dormi sur ma carte et je l'ai brisée... Mais heureusement,
il y avait encore le nom de la rue où nous étions! hahaArchitecture.


Une place centrale.

L'auberge de jeunesse Hôme Backpackers :
beau, bon, bien situé et pas cher.

Je tente d'escalader une poutre du pont...
Voici le pont en question. C'est immense!!!
Ciudad de las Artes y las Ciencias (Cité des Arts et des Sciences)
Là-dedans il y a un planétarium, un aquarium et bien d'autres choses.
Palau de les Arts Reina Sofía, cet opéra fait aussi
parti de la Ciudad de las Artes y las Ciencias.
Magnifiques fleurs dans un arbre.